KS-Guide
205 204 Peinture par cataphorèse/ électro-coating Produits Galvaswiss Peinture par cataphorèse/électro-coating Dégraissage, décapage, lavage, phosphatation ou autre couche de conversion, lavage à l’eau déminéralisée, peinture par cata phorèse. Dans d’autres procédés, le dégraissage, le lavage, etc., sont précédés d’un sablage (par ex. lourds châssis de véhicules). Epaisseurs de douche standard 8 – 30 µm. De plus grandes épaisseurs de couche jusqu’à env. 50 µm sont possibles. L’aug mentation de l’épaisseur de couche réduit la conductibilité et la déposition. La peinture par cataphorèse (en tant que couche de fond époxy) est le plus souvent cuite à env. 180° C. Pas de couche d’alliage intermétallique, déposition de laque régulière, compacte, dépourvue de pores grâce au flux de courant sur des pièces plates, comme lors d’un laquage mouillé, toutefois plus régulière et adaptée à des structures complexes grâce au procédé par immersion. Convient pour des laquages ultérieurs, des couches intermédiaires et/ou des couches de finition. Laquages mouillés ou en poudre, selon la résistance de courte durée à la chaleur jusqu’à 220° C. Bonne adhérence en fonction du prétraitement chimique (phosphatation ou composés de zirconium, etc.), comparable à un revêtement en résine époxy sur de l’acier phosphaté au zinc. Valeurs de résistance à la traction > 30 kg/cm 2 . Bonne résistance chimique avec la peinture par immersion à résine époxy. Les résines époxy affichent en général une bonne résistance aux acides, aux lessives, à l’essence. Bonne flexibilité grâce aux couches minces, pas de fissures. Similaire zingage Sendzimir. Plus flexible que laques mouillées ou en poudre à 2 comp. à couches épaisses. Emboutissage Erichsen: déformation 5 mm sans fissure de la peinture. La peinture par immersion est utilisée principalement pour des séries et dans l’industrie automobile. En fonction de l’utilisation et du prétraitement, on applique des normes qui sont le plus souvent spécifiques à des constructeurs, par ex. TL 245 de Volkswagen. Le plus souvent, on convient de valeurs tests spéci fiques au produit, comme par ex. 500 heures de brouillard salin pour une épaisseur de couche de 30 µm plus un test de pliage sur mandrin ou de jet de pierres, etc. Déposition électrochimique dans une laque aqueuse. Application d’un revêtement organique sous forme de polymères ionisables finement dispersés sur une surface conductrice. Le matériau de revêtement est dissous en tant qu’anode dans le bain de revête ment et déposé au moyen d’un courant continu sur la pièce (cathode), la plupart du temps dans une solution légèrement acide. Procédé similaire à celui du zingage galvanique. Le liant le plus souvent utilisé est une résine époxy. Couche de fond de protection anticorrosion pour pièces de série (pièces de véhicules, châssis de véhicules, vis, appareils électroménagers, etc.). Laque fluide convenant à des géométries complexes. Prétraitement soigné, par ex. phosphatation (phosphatation au zinc comme dans le zingage galvanique) pour les pièces en acier, ou chromatation (Cr III) pour les pièces en aluminium et lavages avec de l’eau déminéralisée. Les cavités ne sont pas ou peu revêtues, il faut pour cela une anode à l’intérieur de la pièce (des peintures par immersion normales ou des peintures par immer sion par autophorèse sont plus adaptées aux cavités). L’électrodéposition ne provoque pas de coulures. Processus automatisé, peu de main-d’œuvre nécessaire. Après la peinture par immersion, le plus souvent lavage à l’eau déminéralisée et cuisson de la laque. Norme Procédé Rouge = pièce C = Substrat de peinture, points partiel lement dissous = particules de laque dispersées dans la solution aqueuse. Prétraitement Epaisseurs de couche Structure de couche Aptitude au revernissage Adhérence Charge corrosive spéciale Ductilité/Flexibilité
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